Valérie Serwood
Nombre de messages : 20Date de naissance : 04/02/1992Age : 32Localisation : suis mon éméteurHumeur : saccaganteDate d'inscription : 24/03/2010Pseudonyme : candice (a)Last Resort ♦ SOUNDTRACK : blah blah blah ♦ AMBITIONS : Sujet: valérie serwood - épilogue - Jeu 25 Mar - 17:47 ma vie, ce que je suis et moi. on m'appelle blanche-neige Je n’aime pas être entouré d’individus qui me tombent sur les nerfs. Je n’aime personne en fait. Mise à part ma simple vie, je déteste les autres, je déteste ce qu’ils sont, ce que je vois d’eux, ce qu’ils font subir aux autres, ces simples humains sans but dans leurs existences me donnent tout simplement la nausée. Mon premier meurtre, si je vous l’expliquerais, vous me trouveriez folle, mais de toute façon je ne vous aime pas, je vais vous le raconter. Un garçon de mon lycée m’avait trompé. Je suis devenue folle de rage, le soir lorsqu’il sortait de son entraînement de football je l’attendais. Et j’ai pris la hache à bois de mon père. Je lui ai tranché sa virilité masculine et il est mort au bout de son sang par terre dans la douche du lycée. Je me suis sentit si forte et puissante, pouvoir tué sans aucun remords était le signe d’une destinée pour moi. Pendant un moment de ma vie j’ai vengé les hommes des femmes et j’ai toujours punis ces répugnantes créatures de dieux qu’on appelle l’agente masculine autrement dis un homme. Après quelques années j’ai compris que les femmes, elles aussi avaient des tords envers les hommes. Avoir un amant ce n’est pas correct.
Habituellement je tue par vengeance. On est venu me chercher en prison au Québec, au Canada. On me endormi et implanté une puce GPS dans le corps. Lorsque je me suis réveillée je n’étais plus au Québec, ni dans ma prison, ni dans ma cellule. Je n’étais au courant de rien. Être dans un tournoi, une compétitrice. J’avais ma hache avec moi. Toujours vêtue de ma minijupe de jeans et ma camisole brune. J’étais vraiment mal abimé. Je me sentais mal à l’aise. Lorsque je découvrirai qui m’a fais cela, je le tuerai sans doute. Et si on essayait de me tué, ce serait mal me connaitre. Je suis de force et je n’ai pas peur du danger. Qu’on me pourchasse, qu’on me fasse du mal. Qu’on me tire une balle. Je serai toujours votre pire cauchemar, essayez de vous enfuir, ça me fera de plus en plus sourire. Faites-moi plaisir, ne vous conduisez pas comme une pourriture. Good luck everybody.